top of page
Difficile de faire plus simple : une seule pièce d'habitation et un toit plat.
Dimensions extérieures : environ 45 x 54 x 33 mm.
Quatre ouvertures dont une porte.
... et c'est tout.
Plus modeste, on peut pas.
Les murs ont une épaisseur de 3 mm.
Difficile de faire plus simple : une seule pièce d'habitation et un toit plat.
Dimensions extérieures : environ 45 x 54 x 33 mm.
Quatre ouvertures dont une porte.
... et c'est tout.
Plus modeste, on peut pas.
Les murs ont une épaisseur de 3 mm.
Pour imprimer cette petite maison j'ai choisi du fil PolyWood. C'est un PLA avec du bois qui donne à la pièce un aspect "bois mat" ou "terre sèche". Facile à enduire et à peindre.
Suivant l'imprimante utilisée, il sera nécessaire de réduire au papier de verre les dimensions du toit pour qu'il s'encastre correctement et vienne en appui sur les petites nervures qui ceinturent le bâtiment à l'intérieur des murs.
Pour éviter l'affaissement des linteaux l'impression est paramétrée avec "supports d'impression", c'est à dire que les porte et fenêtres (ben oui, ya qu'une porte ! ) seront remplies d'une sorte de nid d'abeille qui supportera les linteaux au moment de leur impression.
Il faudra ensuite désoperculer toutes les ouvertures pour les débarrasser de ces supports, puis ébavurer correctement.
La maison, avec son toit, et la porte partiellement désoperculée.
Note :
Cette petite maison peut être facilement imprimée à l'échelle "N".
Il suffit, dans CURA by Dagoma, d'utiliser les mêmes fichiers ".stl" et d'appliquer le coefficient de réduction 0,54. (Hé oui ! Pas besoin de redessiner).
L'impression prendra 20 minutes et 4 grammes de PLA pour un coût matière de l'ordre de 0,20€ !
Si l'échelle 1:43 vous tente, il suffit d'appliquer un coefficient x2 dans CURA.
Il faudra 5 heures d'impression et 73 grammes de PLA (moins de 4€).
C'est encore jouable.
Ah ! petite remarque : le bâtiment est marqué "HUGO 2017" à l'intérieur.
Mon petit fils voulait que "son œuvre" soit signée ! (c'est la seule chose que j'ai faite sur ce modèle).
Téléchargements :
Petite maison en adobe
Un de mes petits fils voulait absolument dessiner et imprimer une maison en 3D.
J'ai orienté son choix vers un modèle simple : une petite maison de paysan modeste de la région de Santa Fe, en adobe, qui va me servir sur mon réseau. Tant qu'à faire...
STATUTS
Rencontre avec les juristes de l'AGLCA
21 mars 2014
Contacts :
Aurélie ROBIN (juriste AGLCA)
Carole PERRET, correspondante des services fiscaux pour les associations.
_________________
Je suis allé cet après-midi rencontrer les deux juristes de l'AGLCA au sujet du reçu fiscal et de ses modalités d'application.
L'utilisation du reçu fiscal est régit par l'article 200 du code général des impôts.
Pour résumer et pour faire simple :
Pour qu'une association puisse bénéficier (ou conserver) du reçu fiscal il faut que :
-
l'association ait une gestion désintéressée, c'est à dire que l'argent ou le matériel donné le soit sans contre-partie ;
-
les activités de l'association soient d'intérêt général ayant un caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel, ou concourant à la mise en valeur du patrimoine...
Il en résulte ce qui suit, si on ne veut pas risquer de perdre notre agrément :
ON PEUT :
-
organiser 6 manifestations exceptionnelles par an du genre « bal », « loto », « vide grenier ».
Typiquement, ces manifestations doivent être hors activité statutaire.
Les fonds recueillis doivent bénéficier directement à l'association.
-
faire payer les entrées lors des expositions qu'on organise si les activités présentées ne font pas concurrence aux activités équivalentes des professionnels de la même zone de chalandise.
La zone de chalandise considérée est la zone locale, c'est à dire la zone qu'on peut couvrir en quelques dizaines de minutes de voiture.
L'argent recueilli ne doit bénéficier qu'à l'association.
-
recueillir des dons en disposant une boîte à cet effet lors de nos expositions.
L'idéal étant de signaler que l'association délivre un reçu fiscal à ceux qui le désirent.
-
organiser une buvette sans alcool sinon il faut demander une autorisation spéciale -- lors d'une exposition dont nous sommes les organisateurs.
-
vendre des tartes et/ou amuses-bouches si et seulement si ils sont achetées dans les commerces spécialisés, traiteurs, grandes surfaces, boulanger, etc.
-
revendre à l'association du matériel dont on n'a plus la facture.
Il suffit de trouver une offre (plusieurs seraient préférables) sur internet pour le même matériel d'occasion. Le tirage imprimé de ce offres sert de référence à l'évaluation de la valeur de l'objet donné.
-
faire un don pour payer l'installation du plancher dans le local de Bourg,
MAIS :
-
« – il n'est pas autorisé que les travaux effectués conduisent à un enrichissement du propriétaire du local ».
Cependant si l'accroissement de valeur résultant pour le local reste modeste, le fisc se montre tolérant.
Avis personnel et conseil des juristes : si le plancher est démontable, on l'ecrit dans nos dossiers et on démonte le plancher à la fin du bail.
ON PEUT mais FORTEMENT DÉCONSEILLÉ :
-
vendre nos fabrications modélistiques (PN, Grue à eau, circuits électroniques...) à condition qu'il n'y ait pas concurrence avec des professionnels de la même zone de chalandise.
Or dans le domaine de ces petites fabrications, la vie moderne et le développement d'internet font que la zone de chalandise s'étend bien au delà de la simple zone accessible en quelques dizaines de minutes par transport automobile.Le tribunal peut aller jusqu'à considérer que la zone de chalandise va même plus loin que nos frontières si un fabricant étranger s'avisait de porter plainte.
ON NE PEUT PAS :
-
vendre des pommes ou des tartes « maison » ou des boissons maison lors d'une buvette parce qu'on est sensé ne pas pouvoir respecter les règles sanitaires.
Paradoxe : on peut parfaitement vendre des pommes qu'on a acheté chez le marchand (avec facture qui le prouve, même si elles ne sont pas BIO) mais on ne peut en aucun cas vendre les pommes qu'on a cueillies sur nos pommiers !!!
De même pour les tartes et autres quiches ou pizzas.
Les sanctions peuvent être très lourdes.
Le paragraphe qui suit est IMPORTANT.
ON NE PEUT PAS :
-
faire figurer dans nos déclarations fiscales le repas de l'AG.
La raison est la suivante :
Si on fait figurer le repas de l'AG sur la déclaration fiscale, son paiement à BB1601 est donc considérée comme un don.
Le repas est alors considéré comme une contrepartie.
Le fisc tolérerait cette contrepartie si son montant était inférieure ou égal à 20 % du montant du don.
Or, les dons sont considérés de façon individuelle et non pas globale.
Cela signifie que, dans ce cas précis, l'utilisation du reçu fiscal transformerait ce repas en contrepartie, contrepartie dont la valeur est supérieure aux 20 % de la somme qu'on a donnée pour le paiement du repas.
Il est donc rigoureusement impossible de faire figurer le repas de l'AG dans la déclaration fiscale.
Point final.
bottom of page